" Le vers, par sa symétrie, offre au musicien un canevas beaucoup plus facile, souvent même dangereusement facile, en ce sens qu'une fois entraîné par le rythme que le premier vers d'une série fait jaillir dans l'esprit ou dans l'oreille du musicien, celui-ci devient en quelque sorte l'esclave du dialogue, au lieu d'en rester le maître, et s'abandonne, sans plus de contrôle, aux conséquences purement rythmiques de sa première impression... "
Charles Gounod
Autobiographie, "Préface à George Dandin"
Photographie de Charles Gounod par Mayer & Pierson
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