[Atto 1, Scena Terza]
Je signale l'initiative intéressante de France 2 qui, en parallèle à la diffusion télé, met à disposition en streaming, sur internet et gratuitement un des premiers opéras de Rossini, la Pietra del Paragone, dans la production de janvier 2007 du théâtre du Châtelet (livret intégral de l'opéra disponible ici).
Le programme est divisé en deux parties, la première accessible depuis lundi dernier (1er acte), la seconde à partir de lundi prochain (acte 2). La qualité, tant sonore que visuelle, est excellente (diffusion du DVD livre paru chez Naïve).
Le programme est divisé en deux parties, la première accessible depuis lundi dernier (1er acte), la seconde à partir de lundi prochain (acte 2). La qualité, tant sonore que visuelle, est excellente (diffusion du DVD livre paru chez Naïve).
Livret de Luigi Romanelli
Direction musicale: Jean-Christophe Spinosi
Ensemble MATHEUS
Choeurs du Teatro Regio di Parma
Conte Asdrubale: François Lis
Marchesina Clarice: Sonia Prina
Barconessa Aspasia: Jennifer Holloway
Donna Fulvia: Lauren Giordano
Pacuvio: Christian Senn
Giocondo: José Manuel Zapata
Fabrizio: Filipo Polinelli
Conte Macrobio: Joan Martin-Royo
M. en scène: Giorgio Barberio Corselti & Pierrick Sorin
Critique du Figaro ici, de Libération là, de Classique News.
La mise en scène est... spéciale on va dire. Un ersatz de sketch de Mister Bean, qui ne me sied absolument pas.
La partition, jouée sur instruments d'époque, pleine de dorures châtoyantes et luxuriantes, ne se marie juste pas du tout avec les écrans plasma des années 2000 et une esthétique et des costumes des années 60.
Au contraire, je trouve que le contraste ne fait pas honneur à la musique de Rossini. Il la ringardise complètement.
Bref, je n'aime pas l'association des deux.
Au-delà de cela, cette production me ramène à la même sempiternelle interrogation: à quand remonte la dernière mise en scène potable, au Châtelet?
Seriously.
Sans compter évidemment la médiocrité des chanteurs.
La partition, jouée sur instruments d'époque, pleine de dorures châtoyantes et luxuriantes, ne se marie juste pas du tout avec les écrans plasma des années 2000 et une esthétique et des costumes des années 60.
Au contraire, je trouve que le contraste ne fait pas honneur à la musique de Rossini. Il la ringardise complètement.
Bref, je n'aime pas l'association des deux.
Au-delà de cela, cette production me ramène à la même sempiternelle interrogation: à quand remonte la dernière mise en scène potable, au Châtelet?
Seriously.
Sans compter évidemment la médiocrité des chanteurs.
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